Elle est belle, n'est-ce-pas ?
Raison de plus pour la proteger, du feu ou du beton a outrance.
Concilier un necessaire developpement avec une indispensable protection, c'est tout l'enjeu des politiques publiques et des comportements individuels.
Saurons nous y faire face ?
12 Comments:
At 12:17 PM, Anonyme said…
Personne au monde qui pourra contester cette affirmation: LA CORSE EST BELLE
Kallisté, Ile de Beauté, depuis la nuit des temps, les termes louangeurs n'ont pas manqué.
Son sort est entre les mains de ses habitants.
La Corse sera ce que les corses voudront en faire.
Le débat est ouvert.
At 11:32 PM, Anonyme said…
un senatore di corsica oghie piu di stu mondu,senpre diciva , a CORSICA e fata per e fiamme ma a natura e fata pè a CORSICA
At 12:08 AM, Anonyme said…
À lu votru fattu,vengu è vi
saluttu;à lu votru esse, da lu mo luntanu....magnificu..
u prussimu
At 10:08 AM, Anonyme said…
D'accord pour protéger la Corse du béton à outrance,
mais il faut éviter de freiner son développement.
Une Corse réduite à un désert, serait comme un écrin vide. IL me semble qu'il faudrait limiter les outrances de la loi montagne et de la loi littoral.
Mais en étant très attentif et avec toutes les précautions
nécessaires.
At 10:28 AM, Anonyme said…
D'accord, personne ne veut de la "réserve d'indiens", mais quelles sont ces outrances ? Là commence le débat.
Éviter le mitage des paysages, est-ce outrancier et attentatoire à la liberté ?
At 10:53 AM, Anonyme said…
Le propriétaire d'un terrain légèrement éloigné du village
( terrain reçu en héritage) ne peut pas bâtir sa maison ;
Il faudrait construire un véritable petit hameau pour
obtenir les autorisations nécessaires.
Le nanti aura les moyens de le faire, mais celui qui peine
déjà pour une simple bicoque en sera empêché.
Comme toujours , victoire des "friqués" et "emmerdes"
pour les plus humbles. Est ce que c'est JUSTE?
Sans compter d'autres désagréments qu'il vaut mieux
éviter d'évoquer!!!!!!!!
l y a surement d'autres exemples.....
At 11:32 AM, Anonyme said…
La commune où j'habite, dans le midi de la France, a procedé de la manière suivante. Elle a constitué au fil des années (nous avons le même maire depuis près de 30 ans), des réserves foncières, en achetant grâce à des subventions, systématiquement tous les terrains, à l'intérieur ou dans les environs immédiats du village, qui se présentaient à la vente. On procède maintenant par échange, avec une soulte lorsque necessaire, entre un terrain éloigné et un terrain communal, peut-être plus petit mais mieux situé. Priorité est donnée aux originaires du village, ou à leurs descendants. ça fonctionne bien et nous avons réussi à rester un village, pas une banlieue.
Je reviendrai néanmoins à Rutali à la retraite... mais je n'y ai pas de terrain!
At 11:51 AM, Anonyme said…
Ah, une discussion interessante que je découvre. Continuez, on a quelquefois l'impression que le blog évite soigneusement les sujets qui pourraient facher.Pourtant, c'est sain de discuter.
At 12:48 PM, Anonyme said…
il faut vivre dans un satellite pour la voir comme ça.
de l'interieur le décor est un peu moins paradisiaque, et pourtant il faut y vivre comment faire autrement?
At 2:17 PM, Anonyme said…
Même si tout est loin d'être parfait en Corse, tant s'en faut, nous sommes dans un environnemment que
beaucoup nous envient. Il faut juste procéder à des
ajustements qui dépendent pour beaucoup des politiques,-- ( on peut faire en sorte que les choses se passent différemment, voir ce qui est évoqué dans le comment n°7 )-- et des comportements de chacun.
Plus de fatalité, plus de résignation.
" chi fa , chi ci si po fa " c'est FINI !
Il faut se persuader que c'est une CHANCE de vivre en
Corse et pas une malheureuse obligation .
Mais pour cela , il faut passer de l'attitude passive à
l'attitude ACTIVE.
N'est ce pas le président Kennedy qui avait déclaré :
" Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire
pour vous, mais , ce que vous , vous pouvez faire pour votre pays."
At 10:11 AM, Anonyme said…
On pourrait déja commencer par balayer devant notre porte!C'est le cas de le dire quand on voit les alentours de l'incinérateur ou ceux des bornes pour la récupération du verre!
Est -ce si difficile de respecter le jour d'enlèvement des encombrants?
Est- ce si difficile de placer son sac poubelle dans le local et non pas à l'extérieur ?
Est-ce si difficile de rentrer les bouteilles dans le container?
Notre village est beau alors soignons son entrée!
On pourrait peut-être déplacer les bornes pour le verre et les remplacer par de belles plantations. A funtana Nova mèrita mejjiu
At 12:53 PM, Anonyme said…
Entièrement d'accord, mais j'ai remarqué souvent que si les bouteilles sont deposées à côté des containers, c'est
parce que ces derniers sont pleins. Il faudrait donc veiller
à ce qu'ils soient vidés régulièrement.
Quant à balayer devant notre porte, c'est du ressort de
chacun; mais les parties communes situées en plein village doivent être nettoyées par ceux qui en ont la
charge.
Il faudrait aussi encourager la plantation de parterres
fleuries là où c'est possible; on a connu Rutali plus fleuri
et plus coquet. Là où il y a du béton, c'est difficile,mais on peut compenser par des jardinières un peu comme
on a tenté de le faire devant la casa Flori. Mais peut-être
que là aussi l'arrosage poserait problème.
En tout état de cause, la solution appartient surtout me
semble-t-il à l'implication individuelle.
PS: Pensez aux roses trémières; il y a quelques années,
Rutali en était parsemé, aujourd'hui il n'y en a quasiment
plus.
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