Dernières fumerolles et vigilance
Le village est plein de pompiers qui veillent à une éventuelle reprise.
Il y a toute une unité, venue du Gard, qui Samedi avait été particulièrement active en allant au feu, dans le maquis entre Rutali et Murato, sans l'attendre
sur la route. Ils fraternisent allègrement au Bar avec les Rutalais qui leur ont fait bon accueil, surtout à une jeune "pompière"...
(photo C. Mathieu)
Il y a toute une unité, venue du Gard, qui Samedi avait été particulièrement active en allant au feu, dans le maquis entre Rutali et Murato, sans l'attendre
sur la route. Ils fraternisent allègrement au Bar avec les Rutalais qui leur ont fait bon accueil, surtout à une jeune "pompière"...
(photo C. Mathieu)
posted by U cuccu @ 9:52 AM
4 Comments:
At 4:42 PM,
Anonyme said…
laissons bruler .
les gars du GARD sont la.
Et a nous les petites Rutalaises,.
Produits riches a voir sans etre vu.
a suivre.
At 8:28 PM,
Anonyme said…
RENDONS A CESAR CE QUI EST A.....
GEORGES LECA MERCI POUR CETTE BELLE PHOTO,EN SOUHAITANT QUE LE VILLAGE NE VIVE + CES HEURES PENIBLES.
JE PROFITE DE CETTE RECTIF POUR FELICITER L'ASSOCIATION POUR SON TRAVAIL ET ENTHOUSIASME
MARIE-JEANNE LECA
At 12:09 AM,
Anonyme said…
Effectivement, cela fait 16 ans (depuis ce sinistre 1° août 1989) que je me pose la question : pourquoi les incendies chaque été, et comment faire pour y remédier ?
Bien- sûr cette question pourrait paraître légère car l'on pourrait me répondre : "ce sont les incendiaires (hommes ou nature) qui mettent le feu". Lapalisse n'aurait pas dit mieux.
Mais à part les causes "humaines", il y a les causes « naturelles », telle la foudre (mais quand elle frappe, il pleut le plus souvent); un tesson de verre jeté négligemment par terre (en plein maquis?); un mégot de cigarette jeté négligemment par la portière d'une voiture (en bord de route beaucoup de départ de feu effectivement); etc.
Bref, on peut trouver toutes sortes de causes mais ce qui est une constante, c'est que l'on n'a jamais attrapé un incendiaire sur le fait à part ceux que l'on a attrapé après enquête (comme aurait dit Lapalisse) mais ceux-ci avait toujours une excuse, la folie (pyromanie), la vengeance (de chasseurs), le vent, etc.
En son temps, le Colonel Battesti (à la retraite maintenant) avait émis une hypothèse (qui a fait bondir pas mal de personnes et pour cause), sans nommer personne, il avait constaté que les endroits où le feu prenait étaient dans un premier temps "souvent" les mêmes et secondement que ces endroits correspondaient "souvent" à des lieux de pâture.
Bien- sûr à l'époque cela avait scandalisé et je comprends le scandale qui accusait sans preuves une catégorie de professionnels pour qui leur activité était un moyen de subsistance honnête et ce n'est pas parce qu'il y a une brebis galeuse que tout le troupeau est galeux!
Un autre homme sage avait à son époque (Haroun Tazzief) donner son avis en expliquant que "l'écobuage" était une tradition des régions méditerranéennes et qu'il fallait l'encadrer voir l'institutionnaliser afin que ceux qui vivent de leur travail honnêtement puissent aussi nourrir leurs bêtes.
Car il faut reconnaître le paradoxe : on donne des primes pour acheter des bêtes mais rien pour les nourrir.
Mais une autre interrogation est de savoir si l'on veut vraiment développer une activité qui a vu sur le continent plus de 30 000 exploitations fermer leurs portes en l'espace d'une quinzaine d'années.
cela pose la question de l'avenir de l’agriculture en général et de sa forme.
Il ne s’agit pas dans ces propos de montrer du doigts des « coupables », mais de se poser la question : pourquoi le feu se produit et comment faire pour qu’il ne se produise plus comme une fatalité ?
Vous aurez compris que des sujets aussi divers, traités sur ce « blog », jamais ne désertent l’essentiel, à savoir « les affaires de la cité » ou « poli(s)tique ».
C’est peut-être pour cela qu’il fait peur à certains et provoque autant de polémiques.
J’ai personnellement parcouru la forêt de Tartagine durant une journée d’été (2003) et nous nous sommes demandé pourquoi une aussi belle forêt n’était pas mieux entretenue à voir le nombre d’arbres morts qui jonchaient le sous-bois et pourrissaient ainsi naturellement en dégageant des gaz inflammables. Durant l’été 2004 arriva ce qui devait arriver, un incendie qui ravagea cette belle forêt !
En parcourant le massif de Bavella, cet été, j’ai pu admirer la propreté des sous-bois de ce massif. D’ailleurs je ne me souviens pas d’incendie ayant ravagé de façon catastrophique ce massif récemment, en tout cas il est magnifique actuellement (je vous le conseille).
Les feux en Corse, sont donc un sujet sensible et « complexe » à aborder. Plusieurs « causes » en sont à leurs origines et c’est pour cela que ça brûle toujours et le nombre de bouches à incendie n’y changera rien.
Francè o] ;-))).
At 10:45 PM,
Anonyme said…
ON DEVRAIT FAIRE UN GRAND PARE-FEU.
DU STADE A LA CROIX.
IL COMMENCERAIT CHEZ BOB.
IL PASSERAIT SOUS JEAN LOUIS.
IL IRAIT SOUS ALAIN .
N ATTENDONS PAS .TUTTI INSEME.
ANGE ALFONSI.
JE REMERCIE TOUS CEUX QUI M ONT
AIDE.
Enregistrer un commentaire
<< Home